Recherche

auberges prennent les noms de "palais royal", "petit Versailles", aux "Eaux", "Chasse Royal", chez la veuve à Saint-Jean-Baptiste et conservant une relique de ce dernier - située au lieu-dit Fontaine Bouillon , où furent découvertes les sources thermales au XVIIe siècle puis construit l'établissement thermal . Les archives mentionnent l'hébergement des curistes à la fin du XVIIIe siècle chez l'habitant ; les

Saint-Amand-les-Eaux

Ces deux faubourgs à l'est du centre bourg de Saint-Amand-les-Eaux et accessibles par le pont nord thermal et la forêt domaniale de Saint-Amand-les-Eaux, incluant les lieux-dits La Croisette et La Fontaine -Bouillon. Près de la chapelle Saint-Jean-Baptiste, la rue est plus large et conserve l'emplacement d'une ancienne place. Les autres édifices majeurs sont l'(ancien) presbytère, l'école et l'établissement thermal

Saint-Amand-les-Eaux - Croisette - bâti dense

Cadastre du Consulat, 1808, la ville de Saint-Amand et ses quartiers et faubourgs, le faubourg de

par emprunt du terrain. L'architecte - paysagiste lillois Léopold Delannoy orchestre les travaux de terrassement, de fondations, et de plantations sur les 8727 m² du terrain. La réception définitive des travaux

Médiathèque Saint-Amand-les-Eaux : collection de cartes postales.

Saint-Amand-les-Eaux

Saint-Amand-les-Eaux - Grand'Place - en ville - Cadastre : 2013 BO 133

Vision romantique des ruines de l'abbaye, carte postale sans date (Médiathèque Saint-Amand-les-Eaux (Médiathèque Saint-Amand-les-Eaux). IVR31_20135908039NUCA Saint-amand-les-Eaux). IVR31_20135908034NUCA -Amand-les-Eaux). IVR31_20125908040NUCA Grilles de l'accès au jardin depuis la Grand'Place, carte postale sans date (Médiathèque Saint

d'adjudication des travaux date de 1903 et la réception définitive des travaux a lieu en 1906. Les travaux de

Saint-Amand-les-Eaux

Savonnière), par une utilisation variée des arcs (linteau et arc cintré) et un riche décor. Les trois sobres portes à linteau droit du rez-de-chaussée surélevé contrastent avec les arcs en plein cintre des grandes baies de l'étage qui retombent sur des pilastres. Ceux-ci jouxtent les pilastres à faux bossages séparant les travées. Une balustrade forme garde corps du petit balcon sur consoles de la travée médiane et se prolonge sur les baies de part et d'autre. L'animation de la façade se poursuit par le jeu des bombée abritant les toilettes. L'avant-corps est couvert d'une toiture en pavillon en ardoise. Un important décor orne les écoinçons des arcs et le fronton ; les armes de la ville, cartouches, mascaron

Saint-Amand-les-Eaux - Cadastre : 2013 BO 133

Le théâtre en construction, carte postale sans date (Médiathèque de Saint-Amand-les-Eaux Saint-Amand-les-Eaux). IVR31_20135908034NUCA La façade du théâtre, carte postale sans date (Médiathèque de Saint-Amand-les-Eaux Vue générale après rénovation du théâtre en 2012 ; la scène, l'orchestre et les tribunes

La chapelle figure sur la Carte géométrique du diocèse de Cambrai réalisé par Villaret en 1769. Les

Saint-Amand-les-Eaux

successifs formant ressauts. Les murs sont enduits en imitation pierre et soubassement. Une corniche avec comprend un seul vaisseau. Les vitraux réalisés par Lorin en 1900 animent les fenêtres de ce vaisseau ; de vitraux, Le Christ et Marie-Madeleine, vitrail offert par les baigneurs (curistes (?) de l'établissement thermal), le baptême du Christ, une Annonciation (?) avec Vierge (?) fileuse, Saint-Thérèse, la Décollation de Saint-Jean-Baptiste. L'autel est inspiré de l'architecture de l'abbaye et des boiseries du

Saint-Amand-les-Eaux - route de la Fontaine Bouillon - Cadastre : 2015 AM 202

Eglise dite chapelle Saint-Jean-Baptiste

Saint-Jean-Baptiste

Vue générale de la chapelle, début du XXe siècle, carte postale (Médiathèque Saint-Amand-les-Eaux Les vitraux au sud-ouest : la Décollation de Saint-Jean-Baptiste, l'Apparition de la Vierge à Saint Les vitraux au nord-est : le Sacré Coeur, adoration eucharistique et hommage à la construction de la basilique du même nom à Paris, Le Christ et Marie-Madeleine, vitrail offert par les baigneurs, le

marbrier-sculpteur Gautier-Desmadryl, installé sur Saint-Amand-les-Eaux, intervient pour la somme de 2370

Saint-Amand-les-Eaux

Le monument aux morts de la commune de Bousignies, dédié aux Bousigniens décédés durant les guerres

dédiée à saint Amand, comme l'église primitive. Reconstruite avec un clocher entre 1860 et 1864 par Ambroise Leclerc et Louis Cordier, les entrepreneurs à Orchies d'après un projet de l'architecte Grimault . Puis en 1862, d'autres travaux ont été exécutés sous les ordres de l'architecte Grimault, sans que l'on Somain. En 1902, une horloge et deux cloches sont installées au clocher. Les cloches sont réalisées par

Saint-Amand-les-Eaux

église paroissiale Saint-Amand

Saint-Amand

L'entrepreneur de marbrerie Georges Rougefort, établi à Saint-Amand, a été choisi pour la construction de deux monuments aux morts pour la commune de Bruille-Saint-Amand, l'un établi en centre bourg

Saint-Amand-les-Eaux

Bruille-Saint-Amand - Cadastre : non cadastré

Saint-Amand-les-Eaux

). Ancienne maison bourgeoise du début du 20e siècle, elle en offre toutes les caractéristiques : modénature de brique, pilastres d'angle, cordon individualisant les niveaux d'élévation, corniche et cheneau venant courronner les murs. L'édifice, formé d'un corps de bâtiment principal et d'un avant-corps en

Saint-Amand-les-Eaux

; ainsi que les linteaux droits, traités en fer IPN. Son ancienne fonction se reconnaît aux inscriptions

Saint-Amand-les-Eaux

bandeaux individualisent les niveaux. Sa toiture à croupe et matériau synthétique s'ouvre par une lucarne

Saint-Amand-les-Eaux

Thun-Saint-Amand - Couture de Nepiers - en écart - Cadastre : 2007 A 115

Saint-Amand-les-Eaux

piédestal, relativement trapu, portant les inscriptions des habitants de la commune morts à la guerre. La

La cité du Maroc a sans doute été construite en lien avec les industries présentes sur les communes

Saint-Amand-les-Eaux

comme un quartier. Les habitations qui la composent sont toutes des maisons doubles, et se regroupent en imitant les pans de bois. Elles se distinguent cependant par leurs jeux de toitures et d’ouvertures en toiture. Le type I voit les façades principales de chaque logement implantées perpendiculairement à la rue . Ces façades sont pourvues d’une croupe brisée recouvrant un oculus, tandis que les longs pans de la toiture se prolongent eux sur les façades latérales (donnant sur la rue et sur l’arrière de la parcelle en façade latérale donnant sur la rue. Ainsi, les façades principales des deux logements (toujours l’avant-toit. Les façades latérales sont elles agrémentées de lucarnes-pignons couvertes en demi

Thun-Saint-Amand - le Maroc - en écart - Cadastre : 2007 A 719 à 749 758 à 819

Les plans du monument aux morts datent de 1921-1922, le monument a été érigé en 1922 en mémoire des

Saint-Amand-les-Eaux

statue de soldat armé. Les inscriptions gravées sur cet édicule sont les suivantes : "Nivelle / A ses

Saint-Amand-les-Eaux

Flines-lès-Mortagne - hameau Rouillon - isolé - Cadastre : 2007 B 894

. Elle comprend donc les locaux de l'’école, le logement de l’instituteur et les locaux de la mairie. En . Elle prend la forme qu’on lui connaît à l’heure actuelle. Les travaux sont dirigés par l’architecte

Saint-Amand-les-Eaux

mortier de chaux hydraulique, avec des joints creux, de type hollandais et dagués. Les pierres utilisées pour les soubassements, linteaux des ouvertures et seuils des portes, tant pour la mairie que pour le , ordonnancée, se compose de trois travées de fenêtres, et d’une travée sur un pan de mur coupé. Les ouvertures délimitant le rez-de-chaussée de l'’étage dont les briques forment des losanges posés sur la pointe, une de couleur rouge. Les joints, rouges également, ont été tirés à la pointe et peints en blanc, donnant croupe, en tuiles mécaniques neuves. Les documents d'’archives donnent des informations quant aux matériaux mis en œoeuvre lors de ces travaux. Sont ainsi utilisés pour les fondations des briques de Couties . Pour les murs, l’'appareillage consiste en une alternance de briques en panneresses et boutisses. De la pierre de Soignies, en provenance de Belgique, est utilisée pour les cordons en façade, les seuils des portes et le soubassement. Les appuis des fenêtres sont prévus en marbre noir de Flandre. Les menuiseries

Thun-Saint-Amand - rue Jean-Baptiste Lebas - en village - Cadastre : 2007 A 1824

un projet à l'entrepreneur Chabaux pour les travaux de construction. Le coût global s'élève alors à l'application d'une peinture à l'huile à deux couches pour les menuiseries.

Saint-Amand-les-Eaux

Saint-Amand-les-Eaux

Bruille-Saint-Amand - rue de l'église - en village - Cadastre : A285

Eglise paroissiale Saint-Maurice

Saint-Maurice

Saint-Amand-les-Eaux

Bruille-Saint-Amand - 1194 rue des écoles - Cadastre : 2013 A 449

L'archéologue Pierre Leman situe l'église primitive hors de la terre abbatiale de Saint-Amand, dans territoire de la seigneurie de Saint-Amand, en bordure de la route de Maulde à Tournai. Ces deux édifices sont représentés sur les Albums de Croÿ. En 1665 est demandé le transfert du siège de la communauté

PLATEAUX, Alain (dir.). Les églises de la Pévèle française. Histoire et architecture du IXe au XXe

Saint-Amand-les-Eaux-Rive gauche

 : des colonnes doriques en pierre de Soignies (Belgique) soutiennent les arcades en plein cintre couvertes de voûtes en berceau plein cintre, les bas-côtés sont couverts de voûtes sur pendentif.

Eglise paroissiale Saint-Pierre

Saint-Pierre